actualité - évocation - transmission - diffusion - transdisciplinarité


Actualité - évocations - transmission - diffusion
- transdisciplinarité

Traverses transdisciplinaires

Blog du site www.caravancafe-des-arts.com. Caravancafé est soutenu en particulier par Basarab Nicolescu, Physicien Théoricien, Président du Centre International de Recherches et Etudes Transdisciplinaires . Le Projet "circulations" est parrainé par Sayed Raza, peintre indien - Ce projet transculturel : art actuel - science - est emblématique du site - De nombreux acteurs culturels, artistes et chercheurs soutiennent aussi ce projet.
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La démarche transdisciplinaire
Appel à contributions CIRCULATIONS : artistes, écrivains chercheurs
Le Centre International de Recherches et Etudes Transdisciplinaires
infos glanées sur le fil de la toile - journal scoop it


vendredi 26 novembre 2010

Ateliers sur la contradiction

releve sur la liste [transdisciplinarity] du CIRET

Ateliers sur la contradiction

Les deuxièmes Ateliers sur la Contradiction
se tiendront à l’Ecole nationale supérieure des mines de Saint-Etienne
et à la Cité du Design de Saint-Etienne Métropole
du jeudi 17 au samedi 19 mars 2011.

Comme lors des précédents ateliers, nous nous exposerons, ensemble, à la difficulté de « dire » notre monde. Nous rendrons compte, de manière précise, des diverses situations d’où émergent nos questionnements. Nous essaierons, en même temps, de soumettre situations et questionnements, à la mise à distance qu’autorise le recul de tel moment philosophique, logique, épistémologique.

L’une des intuitions qui unifie notre démarche est que la prise en compte d’une pensée accueillant la « contradiction » peut être une clé pour analyser et accompagner les mutations contemporaines, et renouveler nos institutions qui restent pour beaucoup fondées sur une rationalité classique. Cependant, nous sommes bien conscients que la notion de « contradiction » ne suffit p
...
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http://aslc2011.emse.fr/






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Actes colloque UNESCO 2010 - A la confluence de deux cultures - lupasco aujourd'hui

A la confluence de deux cultures - lupasco aujourd'hui de Sous la direction de Basarab Nicolescu (Broché - 19 novembre 2010)




Couverture livre Lupasco - Oxus








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lundi 22 novembre 2010

Jacques Honvault - Photographe











Jacques Honvault, photographe


www.jacqueshonvault.com

La science est mon médium, l’homme mon sujet.


Ma démarche artistique repose sur la recherche d’analogies entre mes réflexions sur des sujets humanistes et des phénomènes de sciences physiques. Par exemple, je souhaite partager ma réflexion sur les bienfaits et les défauts de la contestation. Je me mets alors en quête d’un phénomène de science physique qui me permettra d’introduire mon propos. Une fois le sujet cerné, j’utilise toutes mes connaissances d’ingénieur et de photographe pour réaliser mon oeuvre avec astuce mais toujours sans aucun trucage. Bien souvent, l’oeuvre créée me sert d’outil pour approfondir ma réflexion. La transdisciplinarité ne pourrait-elle pas être une méthode d’accès aux vérités cachées ? En effet, qui n’a pas connu une longue période de réflexion qui n’aboutissait pas ? Après quelques jours, au cours d’un moment inattendu, au réveil où à l’endormissement notamment, la solution se présente spontanément dans notre esprit. Première hypothèse : notre réflexion continue peut-être d’une manière inconsciente pendant ces quelques jours. Dans ce cas, nous sommes obligés de laisser faire l’oeuvre du temps. Deuxième hypothèse, notre réflexion était probablement aboutie mais une barrière inconsciente nous empêchait de formuler la solution. Il fallait donc attendre quelques jours que notre esprit ne soit plus focalisé sur le problème pour que jaillisse la solution qui dépassait notre entendement. Pour ma part, j’utilise la transdisciplinarité comme une manière de contourner le blocage associée à la deuxième hypothèse. En effet la solution peut violer certaines de nos certitudes conscientes. On peut ainsi buter sur certains problèmes car la solution, bien que simple, est tout simplement interdite ...

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www.caravancafe-des-arts.com/Jacques-Honvault.htm









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Projet CIRCULATIONS -caravancafé - Jean-Luc Bohin, plasticien











Jean-Luc Bohin - plasticien



Apollon Kanin fait partie de la même série que Soleil 46 Ces deux-là sont extraits d'un travail sur la forêt d' île de France. Ce sont deux images de soleil d'hiver…

Il a été classiquement énoncé que la photo capte l'instant. C'est très bien. Si je fais un instantané du soleil, il apparaîtra immobile. Ce qu'il n'est pas. L'univers est en mouvement. L'esprit aussi. L'instant peut se décomposer. Comme n'importe quel ensemble se fractionner en sous-ensembles, qui vont se fractionner en sous-ensembles… C'est pourquoi soleil 46 est dans la brume évanescente du chaos comme une fractale non géométrique… Que faire pour rendre compte de ce qui bouge et non pas de ce qui ne bouge pas ? Que faire pour que la photo ne soit pas miroir de l'illusion de l'éternité de l'instant T ?

Accepter le flou de bouger c'est observer que les phénomènes ne sont ni noir totalement, ni blancs totalement : à l'air peut-être mature de la mondialisation des cultures, même si l'on comprend un peu l'univers, cette vision est comme une buée flouant une partie du verre de nos lunettes… Le soleil bouge, mon esprit bouge, et la prise de vue bouge, parce que l'œil n'est pas stable : alors le boitier mimétique danse pour accompagner l'irruption du soleil entre les arbres, qui vient se métamorphoser en animal sauvage , aboyant silencieusement je suis là, depuis tant d'années-lumière déjà fauchées par la démarche lascive de Lurette…

Le seul ajout informatique est d'ordre chromatique. J'ai un peu boosté la pâleur des couleurs d'hiver. Le dessin est exécuté à la prise de vue.











Tôle 32 est avec une poignée de consoeurs en complément d'une série sur les cabanes Ostréïcoles de l'île d'Oléron.. Ce n'est pas un reportage sur l'élevage des huîtres, mais un sujet architectural ayant pour thème l'entropie, et au-delà de la destruction progresssive et relativement véloce en bord de mer de ces structures en bois si fragiles un clin d'œil au cosmos qui ne laisse absolument rien de stable, et qui, après l'activité de construction des êtres humains, effectue ce qui peut être considéré comme une destruction à court terme d'un point de vue pragmatique, ou se met aussi lui-même de la partie pour créer à son tour des modélisations différentes de la peinture, par exemple, qui va se boursoufler, s'écailler, se décolorer ou se transformer chromatiquement à cause de l'érosion, donc en fin de compte un micro système propice à nous montrer que rien ne stagne ni ne perdure en ce monde, et que ce faisant l'homme créateur n'est artiste qu'en regard de la nature, se jouant de nous et nous énonçant que le microcosme est identique au macrocosme, et que quoi que nous fassions nous somme au centre de l'univers à ne pouvoir nous en échapper quand tout nous échappe, à commencer par ces tôles qui rouillent se parant de mille couleurs plus affriolantes les unes que les autres, séduisantes comme des filles en robe ondulant dans le vent qui les berce…


Et quand on sait qu'une cabane en tôle est un peu l'opposé architectural d'un palace ou d'un building de prestige, on se demande quelle étincelle a produit une prise de position luxueuse à l'égard de ces fragiles abris…

La fleur de lotus pousse dans la vase…



www.jeanlucbohin.com/
jeanlucbohin@wanadoo.fr











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La vallée de l'étonnement - Le monde Quantique

Basarab Nicolescu

La vallée de l'étonnement

Le monde Quantique

Par Michel Camus

France-culture

"Une continuelle création et annihilation de la matière

et de l'anti-matière, une continuelle création de

particules qui attendent, en quelque sorte, de passer à la réalité…"

Basarab Nicolescu est physicien théoricien au CNRS spécialisé dans la théorie des particules élémentaires, il a notamment publié "Nous, la Particule et le monde" et "La science, le sens et l'évolution". Il a créé avec René Berger le groupe de réflexion sur la Transdisciplinarité auprès de l'UNESCO, réunissant des scientifiques de haut niveau, mais aussi un poète argentin, un plasticien portugais, un philosophe et sociologue français, Edgar Morin, ainsi que que le traducteur de la Bible hébraïque et du Coran, André Chouraqui.

Basarab Nicolescu s'intéresse depuis longtemps aux relations entre la science et l'art, entre la science et la poésie, entre la science et la philosophie. Non seulement la philosophie des sciences de notre époque, mais tout autant celle de notre héritage des plus anciennes traditions.

Dans un de ses livres Basarab Nicolescu cite Jean Delacroix, selon lequel "nos sens sont les prisons de notre âme".

Pour percevoir au-delà de nos sens, il est donc nécessaire d'ouvrir des fenêtres dans les murs de nos sens.

A première vue la physique des particules n'a rien à voir avec la métaphysique de Jean Delacroix, et pourtant Basarab Nicolescu, c'est vous qui faites cette analogie avec le monde quantique. Supposons que nous n'ayons jamais entendu parler du monde quantique, que pouvez-vous dire pour nous introduire dans cet univers inconnu et totalement invisible a nos yeux ?

Le problème que vous posez, d'emblée, c'est la nature de la réalité. Si j'ai cité Jean Delacroix, c'est parce qu'il disait apparemment deux choses contradictoires : il parlait de la nuit des sens, comme démarche nécessaire pour toucher cette réalité qu'il cherchait, en tant que chercheur traditionnel, et en même temps il disait : les organes des sens sont les fenêtres de notre prison.

J'ai trouvé dans cette affirmation quelque chose d'exemplaire qui s'est illustré de manière éclatante quelques siècles plus tard, par la physique quantique. Dans quel sens? Tout d'abord l'échelle quantique. L'échelle quantique on peut la visualiser d'une manière approximative, en termes de distance. Supposez que vous prenez un centimètre, vous le divisez en dix, vous prenez la dixième partie, vous la divisez en dix à nouveau. Vous faites cette opération treize fois et vous arrivez ainsi aux portes du monde quantique.

Donc ainsi, par cette notion d'échelle, d'échelle d'espace, il y a quelque chose de vertigineux, parce que nous nous approchons de quelque chose qu'on ne voit pas, de l'invisible. Donc quelque chose qui est éloigné de nos organes des sens. Bien entendu nous avons les prolongements de nos organes des sens qui sont les instruments de mesure en physique et, tout particulièrement ces microscopes fabuleux qu monde quantique qui sont les accélérateurs de particules. Et ainsi nous pouvons pénétrer dans ces mondes, sans réellement les voir… Nous pouvons voir des traces, des signes, nous pouvons reconstituer, reconstruire ces mondes. Mais nous n'entrons jamais nous- même dans ces mondes quantiques

Est-ce qu'on pourrait expliquer ce que c'est ? Pourquoi quantique, qu'est que "les quanta" ?

Toute l'aventure -entraînée par la découverte du monde quantique, -spirituelle, intellectuelle et même morale, a commencé en 1900 quand Planck a fait sa découverte théorique : en étudiant les rayonnements du corps noir, il est arrivé à une conclusion bouleversante - bouleversante pour lui en tant que physicien classique encore- de la nécessité d'introduire des quantas d'énergie. Cela veut dire que l'énergie varie par des multiples entiers d'une certaine quantité qu'on appelle les quantum élémentaires d'action…Action veut dire tout simplement énergie multipliée par le temps.. Donc un quantum c'est une sorte d'unité fondamentale de ces mondes nouveaux,( les mondes quantiques) de telle manière que soudainement apparaît cet arcane majeur du monde quantique qui est la discontinuité : l'énergie varie par des multiples entiers, rien d'autre. Entre deux multiples de ces quantum élémentaires d'action il n'y a rien.

Qu'est-ce qu'on appelle les particules, par rapport aux quanta, justement?

Les particules sont des quantifications des champs, c'est à dire apparaissent comme des quanta des champs. Autrement dit, dans la théorie moderne, la théorie quantique des champs, il y a deux aspects compatibles mais contradictoires qu....


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www.caravancafe-des-arts.com/Basarab-Nicolescu-Le-Monde-quantique.htm










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Projet circulations(s) caravancafé -Florence Jaboulin






FLORENCE JABOULIN


Artiste plasticienne
Auteure
www.florence-jaboulin.com


Vit et travaille à la fois en France - Rognes, près d'Aix en Provence et au Cameroun à Yaoundé.

Je travaille sur des toiles souples. Ce support correspond à ce que je veux réaliser en rendant la toile presque transparente, de manière à peindre ses deux côtés.
Je peux alors laisser deviner à travers cette matière la force énergique qui se dégage des couleurs et des formes.
Se crée alors une diversité de signes, en plusieurs étapes fragmentées, mais liées par la même transparence qui se transforme en un langage poétique.
Mes toiles et mes textes sont proches, complémentaires et parfois associés.
La toile évolue dans une distillation imaginaire de l’intuition jusqu’à l’équilibre funambulaire entre l’air et la terre, le solide et le léger.



carte vitale  Jaboulin

carte vitale



Le thème qui prédomine dans mon travail c’est celui de la libération de tous les enfermements possibles tels que l’uniformité, les pensées généralisèes, les mouvements massifs, le systématisme environnant.
Je crée de nouveaux mondes dans lesquels tous ces obstacles sont réduits a leur simple expression, où les utopies sont possibles.
Ce contraste troublant me pousse à mettre en dérision les mécanismes ambiants, pour moi, antagonistes à la réalité de cette vie puissante et omniprésente dont je désire souligner l’expression ; aussi, j’ai choisi de peindre sur des toiles souples, pour la respiration, l’idée de liberté que ce support évoque.
Les toiles sont préparées par imprégnation, de façon à leur donner une certaine transparence à les travailler des deux cotés.
J’associe parfois mes textes aux toiles, les deux étant proches et complémentaires.


Cette technique me permet de considérer la toile comme un tout, un ensemble.
J’utilise des techniques mixtes, mêlant peintures de différentes sortes, huile, acrylique et parfois des collages faits à partir de photos retouchées informatiquement, puis travaillées sur le tableau.




jaboulin


jaboulin

série tissu social


Lire le "tissage"- texte de frédéric voilley

*rencontre entre un texte ("le monde") de G.Thélot et une toile ("carte vitale") de F.Jaboulin

http://atikin.over-blog.com/

http://artbakery.250free.com/homeFrancais.htm

Poésies sur:le-capital-des-mots.over-blog.fr
contact
f_jaboulin@yahoo.fr





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mercredi 17 novembre 2010

les particules élémentaires - le Boson de Higgs

Lumière, matière énergie ... le boson de Higgs toujours indéfini

un voyage dans le temps, vers ce que la matière et l'espace dévoilent de nous-mêmes ...

Réalisateur : James Van der Pool
Producteurs : BBC

Deux mille physiciens travaillent à Genève avec l'accélérateur de particules le plus puissant du monde pour découvrir les origines de l'univers.

Quelle est l'origine du monde ? De quoi sommes nous faits ? Pour répondre à cette interrogation fondamentale, plus de deux mille physiciens, parmi les meilleurs du monde, travaillent à Genève sur la plus ambitieuse et la plus chère - 3,8 milliards d'euros - des expériences scientifiques : recréer les conditions qui prévalaient dans l'univers un centième de milliardième de seconde après le big bang, grâce au LHC (Large hadron collider ou Grand collisionneur de hadrons), l'accélérateur de particules le plus puissant jamais construit.

relevé sur

http://www.artevod.com/alarecherchedessecretsdubigbang









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et l'hypertexte a voyagé - le premier site Web

Bienvenue sur info.cern.ch

http://info.cern.ch/default-fr.html

Le site Web du tout premier serveur Web du monde

1990 : une année riche en événements. En février, Nelson Mandela est libéré après 27 ans de prison. En avril, la navette spatiale Discovery met en orbite le télescope spatial Hubble. En octobre, l'Allemagne est réunifiée.

Et à la fin de l'année se produit une révolution qui va bouleverser notre mode de vie.

Tim Berners-Lee

Tim Berners-Lee qui cherchait un moyen simple et efficace de communiquer par ordinateurs à l'échelle mondiale, a réalisé son rêve en créant le World Wide Web.

C'est au CERN, Organisation européenne pour la recherche nucléaire, en mars 1989, que tout commence. Un physicien, Tim Berners-Lee, rédige une proposition de gestion de l'information, expliquant comment transférer des données sur l'Internet en toute simplicité grâce à l'hypertexte, le système, aujourd'hui familier, permettant d'aller d'une information à l'autre d'un simple clic. L'année suivante, Robert Cailliau, ingénieur systèmes, apporte son concours, et devient rapidement un partisan résolu du système.

L'idée de départ était d'associer l'hypertexte à l'Internet et aux ordinateurs personnels, afin de permettre aux physiciens du CERN de disposer d'un seul et unique réseau pour mettre en commun tous les éléments d'information stockés dans les ordinateurs du Laboratoire. L'hypertexte permettrait aux utilisateurs de naviguer facilement d'un texte à l'autre sur les pages Web au moyen de liens. Les premiers prorotypes sont développés sur des ordinateurs NeXT.

Tim Berners-Lee crée alors un système d'édition et de navigation visant à transformer le système en espace créatif pour mettre en commun et modifier les informations et élaborer un hypertexte commun. Comment appeler ce nouveau navigateur ? La Mine d'informations ? Les Mailles de l'information ? En mai 1990, le système est baptisé World Wide Web - la Toile mondiale.


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mardi 16 novembre 2010

Liquidité matérielle

Rencontre LeRouge - Honvault dans le cadre du projet "circulations" organisé par caravancafé . Ce projet met en relation des artistes et chercheurs de différentes disciplines et cultures . - voir l'appel à contribution.




Tissage - Rencontre - LeRouge, compositeur et Jacques Honvault, photographe


Diaporama de LeRouge sur le thème de l'eau, réalisé à partir des photos de Jacques Honvault (finalisé par J.H.) Musique LeRouge : Ballade sur le Styx, composition synchronisée sur le diaporama - samples de bruits aquatiques.

voir la vidéo grand format sur le site





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lundi 15 novembre 2010

Stéphane Hessel - résistances et ouverture

Résistez. "Indignez-vous !"


relevé sur
www.lesnouvellesnews.fr/index.php/civilisation-articles-section/civilisation/763-resistez-indignez-vous-





sation
- Écrit par La rédaction - Jeudi, 11 Novembre 2010 09:11

Appel à une « véritable insurrection pacifique ». Avec Stéphane Hessel qui publie « indignez-vous ! », le Conseil national de la résistance appelle « ceux et celles qui feront le siècle qui commence » à s’indigner. Intérêt général, pauvreté et écarts de richesse, liberté de la presse, dictature des marchés financiers … Attention à ne pas cautionner aujourd’hui « ce que nous aurions refusé de cautionner si nous avions été les véritables héritiers du Conseil National de la Résistance » de 1944.


indignez-vous
Stephane HesselC’est un petit livre de 22 pages à 3 euros, publié chez Indigène-Editions : “Indignez-vous ! ”, sous la plume de Stéphane Hessel, Ancien résistant, diplomate, impliqué dans la rédaction de la Déclaration des Droits de l’Homme des Nations unies en 1948… Et une vidéo, réalisée par Le Conseil national de la résistance.

« Cherchez et vous trouverez » les motifs d’indignation écrit Stéphanne Hessel : l’écart qui se creuse entre les très riches et les très pauvres, le traitement fait aux sans-papiers, aux immigrés, l’état de la planète, la compétition économique impitoyable, la dictature internationale des marchés financiers, et même les retraites et la Sécurité Sociale…

Ces deux documents veulent réveiller les jeunes générations. Ne pas céder au fatalisme. Pas question de reculer sur le programme élaboré il y a 70 ans par le Conseil national de la résistance Il faut résister pour revenir aux fondamentaux : primauté de l’intérêt général sur l’intérêt particulier, presse indépendante du Pouvoir et des puissances d’argent.

Extraits :

« C’est tout le socle des conquêtes sociales de la Résistance qui est aujourd’hui remis en cause. »

Appel à l’insurrection pacifique « contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation de masse, le mépris des plus faibles et de la culture, l’amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous. »

On ose nous dire que l’État ne peut plus assurer les coûts de ces mesures citoyennes. Mais comment peut-il manquer aujourd’hui de l’argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes alors que la production de richesses a considérablement augmenté depuis la Libération, période où l’Europe était ruinée ? Sinon parce que le pouvoir de l’argent, tellement combattu par la Résistance, n’a jamais été aussi grand, insolent, égoïste, avec ses propres serviteurs jusque dans les plus hautes sphères de l’État.

(…)

C’est vrai, les raisons de s’indigner peuvent paraître aujourd’hui moins nettes ou le monde trop complexe. Qui commande, qui décide ? Il n’est pas toujours facile de distinguer entre tous les courants qui nous gouvernent. Nous n’avons plus affaire à une petite élite dont nous comprenons clairement les agissements. C’est un vaste monde. Nous sentons bien qu’il est interdépendant. Nous vivons dans une interconnectivité comme jamais il n’en a existé. Mais dans ce monde, il y a des choses insupportables.


Dans la video : Lucie Aubrac, Raymond Aubrac, Henri Bartoli, Daniel Cordier, Philippe Dechartre, Georges Guingouin, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Lise London, Georges Séguy, Germaine Tillion, Jean-Pierre Vernant, Maurice Voutey

Pour en savoir plus sur Stéphane Hessel, Un billet de Nicolas Bordas











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dimanche 14 novembre 2010

Art Science and the Sacred September 1-7 2011




relevé sur

www.fdavidpeat.com


This course/workshop will explore the deep connections, as well as the boundaries, between the arts, science and the sacred. It will explore the ways in which the artist and the scientist engage the universe and encounter mystery. It will touch on the sense of awe and wonder that many scientists experience about the cosmos. It will look at ways in which the arts have sought to portray, symbolize and point to the sacred. It will enquire into the nature of creativity.

For more information and to register

Werner Heisenberg 1901-1976

In this interview, carried out in the mid 1970s Werner Heisenberg recalls his role in the creation of quantum mechanics and its subsequent developments, including symmetry breaking and the role of time.



Ideas provides a doorway into the ideas and writings of F. David Peat.

Mind & Culture deals with human consciousness, our world-views and the societies we build. These include Indigenous world views and new forms of non-violent social action.

Science deals with the hard sciences, including Chaos Theory, Quantum Theory, and the methodology and philosophy of science.

Bridges the interconnections between ideas, including reflections on language, art and the connections between mind and matter. Thi section also includes speculations and ideas in the process of development.

Many of these ideas are currently being explored at the Pari Center for New Learning. You can explore some of these ideas with David Peat in person by visiting the Pari Center or taking one of David's courses in Pari, Italy. For further information.

David Peat will be running a course on Synchroncity from 30 June -7 July 2003.

David Peat will be running a course on New Science/New Paradigms from 9-16 April and 2-9 October.

Write to David Peat via info@paricenter.com.




voir aussi

Courses at the Pari Center for New Learning

Courses and Workshops

The Center will be offering three courses during 2011. These courses and workshops reflect the Center's vision and philosophy. Courses will run in the morning and late afternoon, leaving time after lunch for a siesta, quiet reflection or a walk in the surrounding countryside. Generally because new ideas can be a little exhausing the Monday morning will aside for sightseeing, such as a visit to Siena.

We are happy to help those who wish to gain continuing education or professional development credits and will contact their organizations if requested.

Accommodation and all meals, traditional Tuscan cooking, are included in the price of the courses. To register for a course, participants must send in a non-refundable deposit.

To be placed on our mailing list or for further information please write to info@paricenter.com.

New Paradigms, New Science and Gentle Action May 19- May 25 2011

This course/ workshop will explore the paradigms and stories that are told by science and ask what impact they are having on our lives, society and values. Are we beginning to see the world in new ways? Is a new form of thinking emerging? How are the visions of the artist and the scientist related? Are we moving towards a new integration of knowledge? How does this change the way we think about ourselves and our society? The course also explores David Peat's ideas on Gentle Action and Creative Suspension.

The scientific ideas involved will be explained and explored in a non-technical way. This course is suitable for anyone interested in the history and evolution of ideas, and in obtaining a deeper understanding of modern science. It has been offered every year since 2001 and has given rise to many stimulating and productive discussions.

For more information and to register

Synchronicity: The Bridge between Matter and Mind June 23-30 2011

The course/workshop will explore the nature of synchronicity and the connections between our subjective, internal world and the objective, external. The week will introduce some key ideas from depth psychology. Archetypes as the structuring principles of the psyche are compared to notions of an underlying implicate order to reality as discussed by the physicist David Bohm. The therapeutic encounter will be viewed as an alchemical vessel in which “frozen accidents” to the psyche can be melted and transformed by generating psychic heat. In the field of literature we will meet James Joyce’s notion of an epiphany – that moment when meaning coalesces into the world – and the poet and priest Gerard Manley Hopkins also wrote of inscape, the authentic and individual voice within the natural world that speaks to us directly.

For more information and to register



voir aussi
www.fondation-langlois.org/html/f/page.php?NumPage=2079





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no-made-l’association :- Appel à projet - Si le printemps revenait ? saison II -


Appel à projet

Université de Nice Sophia Antipolis

Saint Jean d'Angély 2011

« Si le printemps revenait ? saison II »

no-made-l’association explore des lieux atypiques, des espaces non destinés à l'art : voie déferrée et tunnel de Cap d'Ail, gymnase de Cannes, un appartement avant sa destruction à Monaco, le quartier Mimont à Cannes, des espaces naturels comme l'Arboretum de Roure et le jardin du Roc Fleuri à Cap d'Ail et récemment le Parc Valrose dont le titre était « Si le printemps revenait ».

En 2011, pour ce projet dans la ville de Nice, no-made va se déplacer d'un site à l'autre, d'un environnement naturel (Roure, Cap d'Ail) à un environnement urbain (le pôle de St Jean d'Angély), et il faudra de nouveau établir un dialogue spécifique avec un espace singulier.

Le groupe est évidemment constitué d'artistes d'horizons, de formation, et styles différents, aux approches éclectiques ; tout l'enjeu est de les concilier, de donner une cohérence subtile à l'ensemble.

"Si le printemps revenait ? saison II "

Nous allons nous déplacer dans Nice, du Parc Valrose où la nature est omniprésente, où les changements de saison sont très perceptibles, où l’histoire est prégnante, où le printemps est revenu en 2010, au Pôle Saint Jean d’Angély, lieu très urbanisé au cœur même d’un quartier populaire, bâtiment de béton et de verre éloigné de la nature. Le fait de conserver le même titre en y juxtaposant Saison II permet de créer un lien entre ce nouvel événement et ce qui est déjà du passé, de prolonger notre dialogue avec l’université, de nous inscrire dans la cité, dans l’espace, et de garder en mémoire une trace, de marquer les saisons et donc le temps.

L'esprit du projet

Le temps qui passe d'une saison à l'autre, dans nos vies, implique à la fois rupture et continuité. On peut s'interroger sur la répétition de ce que nous vivons, la constance avec laquelle nous traçons notre route, sur ce qui traverse et bouleverse notre perception de la réalité. A travers le prisme de nos affects, de nos émotions, de nos sensations, etc., notre regard se trouve modifié. Notre art aussi.

Un lieu comme celui du Pôle St Jean d'Angély, qui est un bâtiment récent à l'architecture contemporaine, exige une prise en compte non seulement de l'environnement urbain, des espaces, des lignes de construction, des matériaux, mais aussi de son occupation par un public étudiant qui circule, qui a ses habitudes et ses contraintes, et qui n'a guère l'habitude de côtoyer l'art, et encore moins l'art dit contemporain.

Elément non négligeable pour l'orientation du projet, le Pôle SJA regroupe toutes les formations de Psychologie et la Licence de Sociologie.

Nous devrons donc prioritairement tenir compte de "l"autre", du regard porté sur les œuvres, de l'impact de la présence d'une œuvre sur la perception du lieu, de la modification des parcours. Les œuvres vont déranger, étonner, interroger, révolter etc…

Nous allons, pendant un certain temps, qui correspond au printemps réel ou symbolique, nous inscrire dans un lieu, des lieux, une architecture, des lieux connotés, où on ne nous attend pas forcément… et le(s) modifier.

Les lieux

Saint Jean d'Angély comprend plusieurs bâtiments en béton, la salle d'expo « l'Avant-scène », un parvis. L'ensemble est labyrinthique avec des endroits contrastés qui peuvent être banals, ou surprenants : avec le hall d'entrée et son escalator, des escaliers et des couloirs à l'infini, les passerelles qui surplombent et qui communiquent, des recoins sombres ou déroutants, des baies vitrées gigantesques qui ouvrent sur l'extérieur, des verrières inaccessibles, des terrasses. etc… On pourra bientôt voir les photos des endroits intérieurs et extérieurs possibles qui ont été répertoriés sur : http://www.no-made.eu/

Les contraintes

Rien n'a été prévu à Saint Jean d’Angely pour accueillir des œuvres ! Et rien ne se fera sans l'accord de l'ingénieur de la sécurité et des personnes responsables des bâtiments.

Les murs sont en béton.

Chaque artiste devra donc trouver des systèmes d'installation et d'accroche qui ne dégradent pas les supports.

Il faudra tenir compte de la population étudiante qui devra pouvoir circuler normalement, et en toute sécurité.

Les œuvres, les installations, pourront être posées au sol, contre les murs, suspendues.

Cahier des charges

Conditions générales : œuvres "plastiques" et installations originales, tenant compte de la spécificité des lieux (créées pour l’événement).

Le site doit être bien évidemment respecté ; pas de dégradation, matériaux ignifugés, installations capables de résister durant toute la période ; le site étant public les œuvres doivent présenter des normes de sécurité élémentaires, elles ne devront pas présenter de danger pour les visiteurs (risque de chute, de coupure…).

Sélection et nombre d’artistes : propositions examinées par un groupe de sélection pour que le projet global conserve une cohérence et que le cahier des charges soit respecté. 20 œuvres seront retenues. Les sélections sont sans appel et seront communiquées personnellement aux candidats le 30 novembre 2010, sans que les organisateurs soient tenus de justifier leurs décisions.

Dossier de présentation : une notice explicative décrivant clairement le projet avec les matériaux pressentis, la taille de l'oeuvre envisagée et le nombre d'éléments la composant, contraintes d’installation, des pages de présentation visuelles (perspective/esquisse de l’oeuvre à main levée/photos de maquette/dessin informatique.) envoyées par email pour la présentation au groupe de sélection ; des photographies d’œuvres antérieures ; le budget en grande masse et un portrait en bonne définition.

Matériaux : l’artiste est libre de choisir tous types de matériaux en respectant l’environnement du site.

Vernissage : dates à préciser.

Assurance : aucune assurance spécifique n’est prévue pour assurer les œuvres. Seule une assurance en responsabilité civile couvre l’association lors de manifestations en cas de sinistres aux personnes physiques dus aux œuvres.

Recommandation : chaque artiste doit avoir une assurance responsabilité civile.

Budget : l’association examinera les frais engagés et dans la mesure du budget disponible remboursera sur facture, (Des demandes de subventions ont été présentées auprès de la ville de Nice, du Conseil Général et de la Région PACA ; les fonds ne seront alloués qu’au début de l’année 2011).

Les artistes sélectionnés devront préciser les modalités de réalisation de leurs œuvres.

Date limite d’envoi des documents le 25 novembre 2010, par email à :

no-ma2@orange.fr

ou par la poste à l’adresse :

no-made – Denis Gibelin

11 bis avenue George Sand - 06100 - Nice.

Pour le choix des emplacements des visites du site sont prévues ; prendre contact avec les organisateurs.

Pour télécharger le dossier descriptif du lieu, consulter : www.no-made.eu

Pour tous les renseignements concernant l’appel à candidature s’adresser à :

Denis Gibelin : président de no-made-l’association : tel : 06 09 03 33 83- Email : no-ma2@orange.fr

Héléna Krajewicz : tel : 06 22 04 45 11 - Email : h.krajewicz@monaco.mc

Olivier Roche, de l’association In Situ. Tel : 06 14 46 14 16- Email : eau.air2@free.fr

Louis Dollé, artiste. tel : 06 62 29 26 05- Email : louisdolleymagier@gmail.com

Ce projet est initié par la Direction de la Culture de l’Université

et son directeur Monsieur Jean-François Schaal.

Saint-Jean III – Bâtiment de l’horloge – Renseignements auprès de Mme Snéjana Ljubicic (ljubcic@unice.fr)





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Biennale - Figures de l'interactivité - Mémoire (s)



L’École européenne supérieure de l’image (ÉESI) organise la seconde édition de la Biennale internationale "Figures de l'interactivité" en partenariat avec l'Université de Poitiers et l'Université du Québec à Montréal (UQÀM).

Le titre de cette seconde Biennale est Mémoire(s). Que devient la mémoire quand, après le livre, l'ordinateur semble se substituer à elle ? Est-ce si grave après tout, et l'ordinateur ne libère-t-il pas la mémoire de ses obligations du "par cœur" pour lui redonner cette fonction qu'elle avait de l'antiquité au Moyen-Age, à savoir d'être "une matrice de cogitation où les souvenirs sont agités et rassemblés dans un schème à accès aléatoire, une architecture mémoriale, une bibliothèque que l'homme passe sa vie à édifier avec l'intention expresse de s'en servir de façon inventive" (Mary Carruthers, Machina memorialis, Gallimard, 2002).

Ces réflexions posent d'emblée plusieurs questions :
- Qu'est-ce que la mémoire ? Les mémoires ?
- Comment accéder à ces souvenirs, à ces réminiscences ?
- Quelles architectures construire aujourd'hui pour accéder aux informations stockées dans nos disques durs ou sur les serveurs ?
- Quelles figures inventer pour "afficher" les informations ?
- Développons-nous des formes nouvelles de mémoire ou bien privilégions-nous certaines mémoires plus que d'autres ? La mémoire épisodique est-elle plus sollicitée que la mémoire sémantique par exemple ?
- Quelle conséquence l'augmentation généralisée du travail avec la mémoire et sur la mémoire a-t-elle sur nos modes de représentation ? Que devient alors la mimesis ?

Pour développer cette thématique sur la et les mémoire(s), la Biennale "Figures de l'interactivité " proposera une série de performances artistiques, des concerts, des master classes et un colloque international. Le sujet abordé étant vaste et passionnant, nous envisageons dès à présent ce questionnement sur deux éditions de la biennale.


la suite sur
www.figuresinteractives.com/2010/pages_fr/index.html





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walking on sound - la pierre sanukite

traversée - rencontre - harmoniques

l'enfer et le paradis seront là encore après notre mort
Ikkyu
www.zen.wikibis.com/ikky_s_jun.php

Superbe film de Jacques Debs : traversée entre zen, glaciers d'Islande et pierres vibrantes - les mémoires des deux hommes sont révélées, entre deux. Dépassées

Une rencontre harmonique entre Stomu Yamash’ta, compositeur et percutionniste japonais - Sverrir Gudjonsson contre ténor islandais - Noma, soprano syrienne et les moines du Temple Daitokuji - au delà des repères, vers une intime/universelle conversation sur l'invisible




Walking on sound - 3 from FFJS Fondation Franco Japonaise on Vimeo.




www.ffjs.org/

Film documentaire

Walking on sound (90 minutes) - Arte - 14 novembre / 10h05
Musiques Boreales (52 minutes) - Arte - 22 decembre / 00h05

Walking on sound / Musiques Boréales
Zen & Viking Opera

Un film de Jacques Debs


Stomu Yamash’ta, seul percussionniste au monde à jouer sur des pierres, et le contre ténor islandais, Sverrir Gudjonsson ont composé ensemble durant le tournage et pour le film « Walking on sound » (version de 90 mn) et « Musiques Boréales » (version de 52 mn) un ‘‘Opéra’’ à partir de textes sacrés islandais, japonais et araméens. Le film raconte cette aventure artistique et ce long processus de création qui a conduit les deux musiciens du Japon à Paris, en passant par l’Islande.

C’est à Paris, en l’Eglise Saint-Eustache, le 9 novembre 2009, dans le cadre de l’événement « Les sens du zen » célébrant le 20ème anniversaire de la Fondation Franco-Japonaise Sasakawa, qu’a eu lieu la création, en première mondiale, de cette œuvre unique.


Avec Stomu Yamash’ta, Sverrir Gudjonsson, Noma et les moines du Temple Daitokuji
Réalisation : Jacques Debs
Image : Jacques Besse
Son : Michel Brethez
Montage : Nini Ranaivoarivony
Montage son et mixage : Pall Sveinn Gudmundsson
Produit par les Films d’Ici – Serge Lalou, ARTE France, Seulan Film Production – Hjalmtyr Heiddal
Avec la participation du CNC, de la PROCIREP et de l’ANGOA, de Icelandic Film Center, de Icelandic Ministry of Industry, de Scandinavia-Japan Sasakawa Foundation et de Sena Production et avec le soutien de ANA, Icelandair et de l’Office du tourisme du Liban.

© 2010 – ARTE France – Seylan Film Production – Les Films d’Ici


La Fondation Franco-Japonaise Sasakawa a soutenu ce projet en finançant une partie du transport des personnes et des instruments de musique ainsi qu’en aidant au sous-titrage du film en japonais.

Stomu Yamash'ta (compositeur et percussionniste) - (c) Julien Schwartz Stomu Yamash'ta (compositeur et percussionniste) - (c) Julien Schwartz Stomu Yamash'ta (compositeur et percussionniste) - (c) Julien Schwartz Moine du Daitokuji - (c) Julien Schwartz Moine du Daitokuji - (c) Julien Schwartz Moines du Daitokuji - (c) Julien Schwartz Moines du Daitokuji - (c) Julien Schwartz Genzan Miyoshi (flûte shakuachi) - (c) Julien Schwartz Genzan Miyoshi (flûte shakuachi) - (c) Julien Schwartz Noma (soprano), Dominique Bertrand (flûte irlandaise) et Sverrir Gudjonsson - (c) Julien Schwartz Stomu Yamash'ta (compositeur et percussionniste) - (c) Julien Schwartz Noma (soprano) et Sverrir Gudjonsson (compositeur et contre-ténor) - (c) Julien Schwartz Noma (soprano) - credits Julien Schwartz Stomu Yamash'ta (compositeur et percussionniste) et Sverrir Gudjonsson - (c) Julien Schwartz

Walking on sound - 1 from FFJS Fondation Franco Japonaise on Vimeo.




Walking on sound - 2 from FFJS Fondation Franco Japonaise on Vimeo.


http://www.ffjs.org/index.php?section=projets&detail=1&itemid=22&visiteur=5b581023fee947ba8bb5829bacda9fe0

* La pierre sanukite

"La pierre sanukite vient de Sanuki, dans l'île de Shikoku au Japon merveilleux révélateur de la terre japonaise vénérée en qualité de pierre philosophale "



Walking on sound - ARTE

Sverrir Gudjonsson est l'un des plus grands contre-ténors de notre temps. Son répertoire s'étend des chants médiévaux islandais à la musique contemporaine européenne et internationale. Stomu Yamashta est un musicien de renom. Héritier d'une longue lignée d'artistes de Kyoto, il a choisi de faire chanter les pierres et les rochers. Stomu Yamashta est venu plusieurs fois en Islande pour participer à des créations de Sverrir Gudjonsson. Et en décembre 2005 c'est Sverrir qui assure une tournée dans 15 villes du Japon. Les deux artistes se sont longuement rencontrés à Kyoto et ont discuté d'un nouveau projet à créer ensemble. Le film nous fait vivre cette amitié artistique. Les deux musiciens établiront un projet musical spécialement pour notre film où se rencontreront les sons minéraux de Stomu Yamashta et la voix unique de Sverrir.
Le film nous fait vivre cette amitié artistique tout au long de l'élaboration de l'oeuvre imaginée autour du thème de La Création. Stomu compose une oeuvre que Sverrir chante, tirée de trois textes majeurs des cultures méditerranéennes, occidentales et japonaises. Le premier chapitre de la Genèse en hébreu, un extrait de la Saga en islandais et un poème de Ikkyû (1394-1481), poète fondateur des arts japonais au XIIIème siècle de notre ère.
Pour Stomu et Sverrir, cette musique est un pont musical et spirituel entre le Japon et l'Europe. Au fur et à mesure que la partition se met en place, nous découvrons les univers exceptionnels de nos deux artistes, leur enfance, leurs parcours artistiques, leur rattachement à leur culture et à leur foi. Le film nous conduit en Islande et au Japon, où nous suivons travail et séances de répétitions en vue de la première mondiale de cette création musicale à Notre Dame de Paris à l'automne 2009. Un voyage dans les mystiques méditerranéennes, islandaises et japonaises durant lequel la Genèse, la Saga et le Haïku résonneront dans une forme d'osmose.


autres liens
www.film-documentaire.fr/Walking_on_sound.html,film,28980

www.ffjs.org/index.php?section=projets&detail=1&itemid=22&visiteur=5b581023fee947ba8bb5829bacda9fe0

http://japon.aujourdhuilemonde.com/stomu-yamashta-un-adepte-du-zen-la-recherche-de-la-pierre-philosophale-en-concert-paris

www.liberation.fr/culture/0101601677-stomu-yamash-ta-sauve-par-le-zen

Stomu Yamash'ta, le seul percussionniste au monde à jouer sur des pierres, et le contre-ténor islandais, Sverrir Gudjónsson, ont composé ensemble durant le tournage un "opéra" à partir de textes sacrés islandais, japonais et araméens. Le film raconte cette aventure artistique et ce processus de création qui a conduit les deux musicens au Japon, en Islande et à Paris, en l'église Saint-Eustache où a été présentée en première mondiale leur nouvelle oeuvre commune.

Un film musical qui met en scène les univers contrastés du Japon, de l'Islande et de la Méditerranée ainsi que les personnalités inspirantes de Stomu Yamash'ta et Sverrir Gudjónsson et leurs interprètes, Noma, la soprano syrienne, les moines du Daitoku-ji et le maître de chant Dominique Bertrand.

http://www.iceland.org/fr/lambassade/actualites/nr/9075





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vendredi 12 novembre 2010

le chaos qui parle clair

relevé sur

Questions Métaphysiques et Anthropologiques





Retour à l'album · Photos de Questions Métaphysiques et Anthropologiques · Profil de Questions Métaphysiques et Anthropologiques


- Notre cerveau serait-il parfois trompeur ? - Lisez ce petit texte et vous comprendrez le sens de la question..








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Jack Kerouac - American Haiku (Copyright 1959)

http://users.rcn.com/jhudak.interport/Jack.html

Jack Kerouac

 

American Haiku (Copyright 1959)


"The American Haiku is not exactly the Japanese
Haiku. The Japanese Haiku is strictly disciplined
to seventeen syllables but since the language
structure is different I don't think American
Haikus (short three-line poems intended to be
completely packed with Void of Whole) should worry
about syllables because American speech is
something again...bursting to pop.

Above all, a Haiku must be very simple and free
of all poetic trickery and make a little picture
and yet be as airy and graceful as a Vivaldi
Pastorella."
Jack Kerouac

Early morning yellow flowers,
thinking about
the drunkards of Mexico.

No telegram today
only more leaves
fell.

Nightfall,
boy smashing dandelions
with a stick.

Holding up my
purring cat to the moon
I sighed.

Drunk as a hoot owl,
writing letters
by thunderstorm.

Empty baseball field
a robin
hops along the bench.

All day long
wearing a hat
that wasn't on my head.

Crossing the football field
coming home from work -
the lonely businessman.

After the shower
among the drenched roses
the bird thrashing in the bath.

Snap your finger
stop the world -
rain falls harder.

Nightfall,
too dark to read the page
too cold.

Following each other
my cats stop
when it thunders.

Wash hung out
by moonlight
Friday night in May.

The bottoms of my shoes
are clean
from walking in the rain.

Glow worm
sleeping on this flower -
your light's on.




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Peter Brook - Docteur Honoris Causa 2010 de l’Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3

relevé sur la liste [transdisciplinarity] du CIRET

Peter Brook - Docteur Honoris Causa 2010 de l’Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3



Mercredi 10 novembre, s'est déroulée dans le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne en présence de Monsieur Patrick Gérard, Recteur de l'académie et Chancelier des Universités de Paris, la Cérémonie solennelle de remise du titre de Docteur Honoris Causa à Madame Michelle Bachelet et Messieurs Peter Brook, Abbas Kiarostami, Tullio de Mauro et John Montague distinguant ainsi leurs parcours dédiés à la promotion des arts et des lettres - dans des contextes parfois difficiles - et la carrière d'une femme politique courageuse, véritable pionnière sur le continent sud-américain.

Il s'agissait là, pour l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 qui fête ses quarante années d'existence, de célébrer la contradiction même de son identité qui mêle l'héritage de Robert de Sorbon, son fondateur, et la soif de réforme portée par les événements de 1968 qui a présidé à sa création en 1970.

En effet, aux côtés des disciplines classiques des lettres modernes, de la linguistique et des langues, des littératures et civilisations étrangères qui furent d'emblée le cœur de son enseignement, se sont créées des unités de formation et de recherche dédiées aux études théâtrales, aux études cinématographiques et enfin aux sciences de la communication.

Des hommes et des femmes de lettres, des écrivains célèbres - Jorge Amado, Margaret Atwood, William Golding (Prix Nobel de littérature en 1983), Imre Kertész (Prix Nobel de littérature en 2002), Umberto Eco ou encore Mario Vargas Llosa (Prix Nobel de littérature en 2010) - ainsi que des hommes de théâtre et de cinéma, - Dario Fo (Nobel de littérature en 1997), Wim Wenders - mais aussi des personnalités politiques - Indira Gandhi et Mario Soares - sont ainsi devenus parmi bien d'autres, Docteurs Honoris Causa de la Sorbonne Nouvelle.


Peter Brook

Né à Londres en 1925, Peter Brook s'est distingué tout au long de sa carrière dans différents genres : théâtre, opéra, cinéma et écriture.

Il est l'auteur de nombreuses mises en scène ayant fait date pour la Royal Shakespeare Company : Peine d'amour perdu (1946), Romeo et Juliette (1947), Mesure pour Mesure (1950), Conte d'Hiver (1951), Titus Andronicus (1955), Hamlet (1955), La Tempête (1957), Le Roi Lear (1962), Le Songe d'une nuit d'été (1970/72), Antoine et Cléopatre (1978).

A Paris en 1971, Peter Brook fonde le Centre International de Recherches Théâtrales (CIRT), lequel devient, lors de l'ouverture des Bouffes du Nord, le Centre International de Créations Théâtrales (CICT).

Ses productions se remarquent par leurs aspects iconoclastes et leur envergure internationale : Timon d'Athènes, Les Iks, Ubu aux Bouffes, Mesure pour Mesure, La conférence des oiseaux, L'Os, La Cerisaie, Le Mahabharata, Woza Albert !, La Tempête, Impression de Pelléas, L'Homme qui, Qui est là, Oh Les Beaux Jours,...

Il a dirigé plusieurs opéras : La Bohème, Boris Godounov, Les Olympes, Salomé et Les Noces de Figaro au Covent Garden de Londres, Faust et Eugène Onéguine au Métropolitan de New York, La Tragédie de Carmen, Impressions de Pélleas et Une Flûte enchantée au Théâtre des Bouffes du Nord et Don Giovanni pour le festival d'Aix-en-Provence.

Peter Brook s'est aussi illustré comme réalisateur cinématographique avec Sa Majesté des Mouches, Marat Sade, Le Roi Lear, Moderato Cantabile, Le Mahabharata et Rencontres avec des Hommes Remarquables.

Il est l'auteur de plusieurs livres, dont plus particulièrement le célèbre Espace Vide (1964).

Peter Brook est membre fondateur du CIRET.

P. j. : Laudatio - Georges Banu, membre fondateur du CIRET.






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Le village Neve Shalom/Wahat as-Salam

relevé sur le site

"Nevé Shalom - Wahat as-Salam" - "Oasis de Paix" en hébreu et en arabe - un village établi conjointement par des Juifs et des Arabes palestiniens, tous citoyens d’Israël. L’activité principale du village est le travail éducatif pour la paix, l’égalité et la compréhension entre les deux peuples.

Situé sur une colline en bordure de la vallée d’Ayalon, situé à égale distance (30 km) de Jérusalem, de Tel Aviv-Jaffa, le village comprend aujourd’hui 50 foyers. Les établissements du village comportent un système éducatif binational pour les enfants, un cadre pour la rencontre entre les deux peuples ("L’Ecole pour la Paix"), un centre spirituel pluraliste ("Doumia - Sakinah") et une hôtellerie.

Contacts

Adresse du Village :

Bureau Relations publiques
Nevé Shalom / Wahat As-Salam, Doar Na Shimshon - 99761, Israël
E-mail (Relations publiques) :

lire la suite

http://nswas.org/rubrique56.html













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jeudi 11 novembre 2010

Feuilleton Ecole de Nice par France DELVILLE

itinéraire d'un feuilleton - quelques indices



« L’Ecole de Nice a trop duré »

Alors : « L’Ecole de Nice a trop duré » est une phrase récurrente dans la bouche de pas mal d’artistes de ladite, et Alexandre de la Salle, qui a perpétué le mouvement au fil des années, a décidé de profiter de la fin de l’exposition « Cinquante ans de l’Ecole de Nice », que Mireille et Philippe Rétif l’ont aimablement invité à organiser, pour y accomplir le même genre de rupture symbolique, le samedi 4 décembre 2010, à 11h. Rupture pas triste, mais féconde de tout l’avenir.





www.youtube.com/watch?v=prABQS-s5AQ&feature=related



rencontrer


série de vidéos mise en ligne par le musée RETIF
rencontre, intrevues avec Chubac, Sosno, Serge III, Fluxus, Ben ....
Un superbe travail qui raconte autrement ...

Suggestions




retrouver aussi les videos et interview par france delville


  • ECOLE DE

    Jean Mas

    Dans le cadre de l’exposition 50 ans de l’Ecole de Nice organisée par le Musée Rétif, France Delville réalise pour Art Côte d’Azur (...)

http://www.artcotedazur.fr/et-si-l-ecole-de-nice-nous-etait-contee,3132.html

(...)

Dissolution de l’Ecole de Nice

La chose aura donc lieu le samedi 4 décembre 2010 à 10h30 au Musée Rétif, à coups de déclarations des artistes sur le thème, et d’une action flambante de Jean Mas sur sa « Crèche de l’Ecole de Nice » (2004), dans laquelle il a installé un certain nombre de personnages du « monde de l’Ecole de Nice ».

Monde varié et ludique composé comme il se doit d’humains, d’animaux et d’objets, associés sur le mode polysémique cher à Jean.

Ce sera donc un événement. Et qui fera écho à celui du 27 novembre 1970 que Danièle Giraudy a heureusement chroniqué en ces termes : "Entrez, entrez, messieurs dames, dans le grand cirque de Milan. Venez voir comme on emballe, flambe, poubelle, crie, expanse, feudartifice, tire, gicle, lacère. La fanfare municipale ouvre la marche".

C’est en fanfare qu’on inaugurait en effet, ce 27 novembre dernier, devant 5000 personnes, à la Rotonda della Besana, l’exposition du 10e anniversaire du Nouveau Réalisme qui regroupait les œuvres historiques, suspendues dans l’espace, du mouvement artistique européen le plus important depuis la guerre. Fondé à Paris par son théoricien Pierre Restany, le 26 octobre 1960, il groupait autour d’Yves Klein les douze artistes signataires du manifeste définissant la singularité collective, à 40 degrés au-dessus de Dada, qui les poussait vers le folklore urbain, contre la vogue de l’abstraction subjective.




(..)

SERGE III

SERGE III nous manque et nous manquera, de par son franc-parler, son audace d’anar et sa fidélité sans faille à un « fluxus » pur et dur, un fluxus politique qu’il a peut-être inventé. En ces temps de fièvres nationalistes, sa série d’objets tricolores, y compris le Drapeau, est des plus savoureuses.

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« Drapeaux pour le centenaire de Sedan 1870-1970, 1970 », catalogue « Ecole de Nice, Serge III », Z’ Editions, à l’occasion de l’exposition « Ecole de Nice : Serge III » à la Galerie d’Art contemporain des Musées de Nice (mars-avril 1988)


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« Le violon-urinoir » 2005, œuvre offerte par Serge III à Pierre Pinoncelli pour son premier « procès-urinoir », photo Archives Pierre Pinoncelli, œuvre présente au Musée Rétif dans l’exposition « 50 ans de l’Ecole de Nice ».









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